Et les femmes sont si belles,
Et les femmes sont si belles,
Et les seins sous les dentelles
Si gonflés de vérité,
Et les mains si pardonneuses,
Et les bouches si donneuses
De tels dons d'éternité,
Et l'été, sous les ombrelles,
Dans les prés, dans les ombelles,
Les bras nus ont de si belles,
Si donneuses nudités,
Et les femmes sont si belles,
Et les femmes sont si belles...
In L’enfant prodigue (1927)